L’histoire de la peinture japonaise
Pendant des siècles, les japonais ont créé des œuvres d’art qui ont été classées comme une forme d’expression unique et distincte. Au fil des siècles, l’art japonais a connu des périodes de grandes réalisations artistiques et, parfois, de stagnation. Il est important de se rappeler que l’histoire de l’art japonais n’est pas seulement une histoire de réalisations artistiques, mais aussi une histoire culturelle. Dans cet article, je vais explorer les origines de la peinture japonaise et la façon dont elle a façonné la culture japonaise.
Les premiers peintres
Avant 1600, la tradition de la peinture au japon était relativement peu connue. Mais c’est alors que les premières peintures de plantes sont apparues au japon. Ces peintures sont connues sous le nom de torii-mono. On pense que ces œuvres d’art, qui sont apparues dans les temples et les sanctuaires, ont été créées par les habitants des îles ryukyu au japon. Après l’arrivée de ces peintures au japon, les compétences et les techniques qui y ont été développées ont évolué au fil du temps, pour finalement créer les styles de la peinture japonaise. Les œuvres d’art issues des ryukyu sont connues sous le nom d’engi. Les mots engi et inari (la plante) signifient respectivement « fleur » et « coquelicot ». La peinture traditionnelle d’engi est une imitation de la fleur, sous la forme d’une toute petite montagne. Les peintres de cette époque se contentaient d’imiter les images sur bois.
L’impact culturel de la peinture japonaise
Pendant des siècles, le japon a produit de merveilleuses œuvres d’art qui ornent son peuple, mais aussi le monde entier, car elles ont voyagé sur les nombreux continents. Ce qu’il faut retenir de l’art japonais, c’est qu’il n’a pas simplement une signification locale ou localisée. Il se transcende par sa relation avec l’environnement qui l’entoure, inspirant ainsi d’autres cultures dans le monde entier. La peinture japonaise est véritablement un art international, dont on parle et que l’on vénère.
Influences sur la peinture japonaise
Avant l’apparition du nô, les peintures japonaises n’étaient pas utilisées comme expression artistique et étaient réservées à un petit groupe d’hommes de haut rang, maîtres de la cérémonie du thé et de la poésie. Ces peintures étaient connues sous le nom de hanamachi et étaient utilisées comme moyen d’expression de leurs compétences en matière de cérémonie du thé. Grâce à l’influence du nô, la peinture japonaise est passée d’une pratique conçue uniquement pour le plaisir des maîtres de haut rang à une forme d’art aujourd’hui acceptée par l’ensemble de la population. La montée en puissance de la classe des samouraïs et du code samouraï a également façonné la forme d’art avec ses rituels et sa violence.
Le renouveau de la peinture japonaise
Au cours des 16e et 17e siècles, l’art japonais atteint un point culminant de son développement artistique. La production artistique du japon durant cette période est parfois appelée la période genpei (cent ans). Les premiers artistes japonais de cette période ont compris l’esthétique de la période précédente, comme la période nichō. Ils ont créé leur art dans un nouveau style connu sous le nom de japonisme. Le japonisme est un terme qui a vu le jour à cette époque. Il est dérivé du nom du plus célèbre peintre japonais de cette période, katsushika hokusai (1760-1849). Au cours des années 1780, des artistes japonais tels que hokusai, utamaro (1697-1788), honnō-ji (1741-1820) et arai hakuseki (1797-1844) ont contribué au renouveau de la peinture japonaise.
La religion et les arts
Dans les années 1700, l’art japonais était un art qui s’appuyait fortement sur la peinture de figures de l’école kano, principalement katsushika hokusai et sesshū tadao. Au fil des siècles, d’autres artistes japonais sont venus combler le vide laissé par les contributions de l’école kano et le caractère de la nation insulaire a commencé à changer. Avec le développement des formes d’art occidentales, les artistes japonais se sont tournés vers un style de peinture moderniste. Cela a finalement conduit au mouvement moderne du mouvement impressionniste japonais. Toutefois, les personnages historiques mentionnés ci-dessus ne sont que quelques exemples de la manière dont les artistes japonais ont été influencés par leur histoire religieuse et culturelle diversifiée. En fait, le bouddhisme et le shintoïsme ont tous deux eu de profondes influences sur la création artistique du japon.
L’essor de la peinture japonaise moderne
Pendant la période edo (1603-1868), la culture artistique au japon était fondée sur une approche occidentale, notamment grâce à l’influence de la culture européenne. Lorsque les anciens japonais ont maîtrisé la fabrication du papier, ils ont développé des techniques d’impression qui leur étaient extrêmement difficiles. Alors que les artisans japonais s’efforçaient de créer une forme d’art imprimable, ils ont découvert du papier importé d’europe. Cette percée dans la technologie de l’impression était tellement en avance sur tout ce que les japonais pouvaient réaliser qu’ils ont fini par la copier, la combiner ou la modifier pour former ce que nous connaissons aujourd’hui comme l’art de style occidental. Bien que la plupart de ces premières œuvres aient été présentées comme des copies, sous des noms différents, ces idées ont fini par s’incruster dans la composition visuelle de la plupart des œuvres d’art de « style occidental ».
L’avenir de la peinture japonaise
La peinture japonaise existe depuis le 7e siècle. Bien qu’elle soit principalement associée au japon, les artistes japonais ont apporté des contributions importantes à l’histoire de l’art occidental. De nos jours, des artistes du monde entier se rendent en pèlerinage au japon pour voir les grands chefs-d’œuvre. Certains d’entre eux sont même nommés pour le prix nobel. Malgré cette histoire, de nombreux artistes japonais modernes ne sont pas reconnus pour leur art. Il existe cependant de nombreux grands artistes qui continuent à gravir les échelons.
La période contemporaine
Au cours des xixe et xxe siècles, lorsque la peinture japonaise a atteint son apogée artistique, le peuple japonais a davantage apprécié les arts en général. A cette époque, l’art moderne était encore en cours de développement et d’acceptation. Cependant, au début du xxe siècle, les exigences de la société moderne et de l’économie ont créé des problèmes importants pour le développement de l’art au japon. En réponse à cette situation, un groupe d’artistes, tels que katsushika hokusai et hiroshige, ont créé un style d’art typiquement japonais qui n’avait jamais été expérimenté auparavant dans l’histoire de la peinture japonaise. Cependant, après un certain succès initial, ces artistes sont rapidement entrés dans une période de stagnation artistique qui a duré jusque dans les années 1950.
La peinture japonaise peut être un peu difficile à comprendre pour les occidentaux, mais ce n’est pas entièrement de notre fait, car elle a également joué un rôle considérable dans le façonnement de la culture japonaise. L’une des œuvres d’art japonaises les plus célèbres est la grande vague de hokusai, qui représente le kraken de la légende, luttant contre les forces de la nature. Comme la plupart des grandes peintures de la période edo, la grande vague montre des humains, des animaux et même des créatures mythologiques dans une perspective différente, mais tout aussi captivante. La période edo est l’apogée de la période « genroku » (maîtres de l’âge d’or) et, en tant que telle, représente l’apogée de l’art japonais au début du xviie siècle. Bien que nous n’aimions pas l’admettre, cette époque est véritablement le summum de l’art japonais.
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